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Pourquoi vouloir décrocher la lune quand on a Son Etoile.
4 juillet 2011

Le premier Jour du reste de ma vie..

26.04.2010 Le premier jour.

  • La vie n’est facile pour personne. Comme dirais Etienne Daho du berceau a la tombe c’est dur pour tout le monde.
  • Ma vie, elle,  a été jusqu’a aujourd’hui plutôt palpitante, faite de rebondissement, faite d’aventure, pleine d’Amour et de tendresse.
  • Même si ces Amours on rempli ma vie dans sa complétude, je crois finalement avoir plus eu de mal que de bien. Un mal nécessaire a mon existence. Mal qui me ronge chaque jour. Mal qui me donne l’impression d’exister d’être vivant. D’être à mon niveau important et d’avoir un rôle dans ce monde, sur cette terre ou l’égoïsme, le mensonge et la trahison régissent cet équilibre fragile qu’est la vie.
  • Et pourtant ça marche. La terre tourne toujours ; même si aujourd’hui nous commençons a peine a nous rendre compte de ce que nous en faisons. Toutes nos forces humaines aujourd’hui se tournent, se concentrent sur comment réparer les dégâts que nous avons causé par nos négligences, nos insouciances, nos ambitions démesurées, notre course effrénée au pouvoir, l’argent, le plaisir et tout ceci a fin de combler notre orgueil.
  • En vérité je vous le dis. Le véritable problème n’est pas ici. Lancer de vaste programmes sur l’écologie, la green attitude est une bonne chose, qui nous donne surtout bonne conscience et qui d’ailleurs pourrais dire le contraire, même si derrière tout ca il ya encore de puissant lobby Américains, Européens et maintenant Asiatique qui vont encore une fois s’enrichir sur notre crédulité séculaire, éternelle.
  • Le véritable problème est en nous, dans notre façon de vivre ensemble. Il y a un bug quelque part. Nos différences qui font de nous des être unique et si exceptionnelle ne nous suffisent pas pour pouvoir être en osmose en compassion permanente les uns avec les autres.

 

  • Sans être trop utopiste où a l’inverse fataliste, nous avons forcément perdu quelque chose, quelque part. Nous savons tous ce que c’est d’aimer, d’être aimé, de partager, d’admirer.
  • Ces bienfaits de la vie, qui nous remplissons de bonheur et de joie intense.
  • Si l’Amour nous comblait autant, alors pourquoi autant de rupture, de malheur, de désillusions, de trahisons. Que cherchons-nous finalement au travers des autres. ? Nous tuons nos bonheurs, nos convictions, nos engagements donnés ne tiennent que rarement.
  • Nous avons perdu la connexion entre nous. Si Dieux nous a fait à son image, si nous sommes presque parfait dans cette nature, dans ce monde, alors que sommes qui a merdé.
  • Je te le dis seigneur, qui ou quoi que tu sois. C’est cette putain de libre arbitre. Ce libre arbitre qui nous différencie des autres être sur cette terre. Ce cadeau empoisonné qui nous a été fait de pouvoir juger les autres, les rencarder, les tuer  nous perdre doucement dans les abimes de nos consciences non collectives.
  • Ce libre arbitre qui devrait nous permettre de comprendre pourquoi nous sommes ici. Pourquoi nous vivant, nous mort, nous amoureux, nous malheureux.
  • Sur ces quelques lignes très peu philosophique mais plutôt constatives. Et oui j’invente des mots si j’ai envie.  Voila le récit de ma vie, faite d’amour et de tendresse, de détresse et de destruction.  Ma vie a toujours été guidée par mes sentiments, mes émotions, souvent sans contrôle. J’ai abusé de mon  libre arbitre. Ce qui ne m’expliquera pas ce dont pourquoi je suis encore la aujourd’hui, ce dont pourquoi je suis fait. Mais plutôt a causé ma perte. Perte de repert. Socialement, philosophiquement, personnellement.
  • Ma vie a été guidée par mes Amours successifs. Je me suis donné a fond pour chacun d’eux. Même si j’ai beaucoup menti, trop menti. Je n’ai jamais été pris en défaut sur mes sentiments.
  • Même si mes actes ne reflétaient pas toujours ce qu’il y avait au fond de moi. J’ai toujours été sincère et ai vraiment aimé du plus profond de mon être.
  • Mon libre arbitre lui n’a fait que de me diriger vers la sortie. Quelle sortie parfois !!

15/16/02/2011.

  • Le temps a avancé et moi, aussi, depuis que j’ai j’j’écris ces quelques lignes dans un TGV qui me ramenait de l’est de la France.
  • J’ai fait et continu à faire un véritable travail sur moi-même, grâce a la FM mais aussi parce que je suis soutenu par la personne qui m’est la plus chère dans ce monde, Monde toujours hostile a l’égard de ceux qui voudrait simplement être vivant.
  • Cette personne bien sur c’est toi mon Isa, qui depuis toujours a été mon soutient et m’a porté doucement, parfois aussi violement vers la bonne voie, ma propre voie.
  • Dès les premiers instants tu as été présente à mes côtés et je n’ai pas toujours su le voir non pas par manque de discernement mais vraiment par manque de maturité et confiance en moi.
  • La confiance que je n’avais pas, toi tu me l’as donné. Sans concession aucune et toujours au-delà de toi-même. Tu en as d’ailleurs souffert profondément. Mon entêtement, ma résistance à ne pas accepter d’être aimé a détruit chaque parcelle de bonheur que tu essayais d’implanter, d’insuffler en moi.
  • Je me rappelle nos premiers instants et ne veux désormais me rappeler que nos bonheurs passés ensemble.  Des instants de bonheur dont l’intensité n’aura jamais d’équivalent dans ce que je pourrais désormais ressentir ou vivre.
  • Je n’ai rien vu, rien entendu, comme un sourd muet j’ai agit. Je me suis laissé emporté par ses névroses que je dois, comme nous tous, à nos enfances, de bonheur rarement, sombre et sournois le plus souvent.
  • Si je dois remercier ma mère, ce n’est que parce que j’ai eu la chance d’être né au moins pour avoir vécu ça.
  • Ça. Cet Amour de pure folie, qui a fait de nous des êtres différents aujourd’hui. Des personnes a la recherche enfin du vrai bonheur partagé. De rien ou de très peu nous avons besoin. L’un sans l’autre nous ne pouvons respirer. Nos liens sont si forts que rien ne pourra jamais s’interposer entre nos deux cœurs et corps fusionnés.
  • Je me rappel de nos premiers regards échangés, toi derrière ton bureau, assise en tailleur et sans chaussure sur ta chaise bleue.Un bureau encombré de Dessins, photos, articles, brochures de toutes sortes.  Bureau en fouillis mais laissant entrevoir cette générosité d’âme qui te caractérise et ton esprit Artistique encore a peine poussée dans ces extrêmes.
  • Ton regard Noisette, Magnifique,  ne laissant rien entrevoir de ta sensibilité.
  • Dès ce moment la j’ai su. J’ai su que c’était toi. Mon Amour, l’unique, ce que l’on appelle souvent son Ame sœur et que l’on ne trouve jamais ou rarement.
  • Et bien moi, oui, moi, Pascal, je l’ai trouvé ce jour la et depuis ne m’en suis jamais remis. Depuis mon cœur n’a cessé de battre pour toi Isa et quoique tu décides dans l’avenir, il continuera de battre pour toi. Car il t’appartient, il t’appartient bien avant ce jour la.
  • Nous sommes lié la haut depuis longtemps, je ne sais pas comment ni pourquoi, mais c’est ce qui désormais va guider ma vie.
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Commentaires
Pourquoi vouloir décrocher la lune quand on a Son Etoile.
  • Histoires sur les relations humaines, l'Amour remis en cause chaque jour par nos névroses et par une vie qui ne laisse que peu d'espace à la sincérité et au véritable Amour. Mais rien n'est perdu si nous savons tourner nos regards dans la bonne direction.
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